Les Piliers du Renouveau – Une Vision

Traduit de l’allemand par Viv

Au plus profond du cœur de millions de citoyens européens bouillonne sans cesse un mécontentement croissant face au panorama politique actuel et aux crises persistantes. Un désir urgent de renouveau tous azimuts s’élève telle une violente tempête, un appel au changement qui résonne inexorablement dans nos âmes.

Chaque peuple a le dirigeant qu’il mérite, dit la sagesse ancestrale. De même que le pouvoir émerge des ténèbres de l’indifférence du plus grand nombre. Mais nous vivons encore dans l’aube clémente de l’ère post-démocratique, les fils de la démocratie se tissent encore autour de nous. Mais les vents du temps murmurent un avertissement, ils annoncent en chuchotant la fermeture prochaine des portails par lesquels jadis on a apporté des corrections à la voie démocratique. Alors, comme nous l’enseigne le passé, le chemin du changement devient plus escarpé, les outils de la démocratie s’émoussent et le poids de l’histoire devient insupportable.

L’heure n’est plus à la simple résistance, mais à l’élaboration d’une vision inspirée pour une Europe renouvelée, et à sa concrétisation collective. Cette vision est en train de naître, elle n’est pas achevée et certainement pas parfaite. Mais elle marque le début d’un voyage et nous invite à participer ensemble à sa construction, toujours dans le but d’identifier les problèmes sous-jacents et de trouver des solutions constructives qui apporteront le changement que nous souhaitons si ardemment.

  1. L’interdiction de suspendre la Constitution ou certains de ses articles, en particulier en temps de crise, est essentielle pour préserver l’État de droit et les droits des citoyens. Une Constitution sert de protection fondamentale contre les abus de pouvoir et la perte des libertés. Le maintien de la Constitution en temps de crise garantit que, même en des circonstances exceptionnelles, les principes et droits fondamentaux seront protégés. Une telle interdiction favorise la stabilité, la responsabilité et la protection des libertés individuelles en empêchant les gouvernements de prendre des mesures disproportionnées qui sapent les valeurs démocratiques en situation de crise.
  2. La possibilité de recours collectifs et d’actions auprès de la Cour constitutionnelle a pour objectif de faciliter l’accès à la justice et de rendre le système juridique plus équitable. Les recours collectifs permettent de poursuivre ensemble plus efficacement les infractions juridiques et offrent aux citoyens la possibilité d’engager des poursuites collectives contre de grandes organisations ou entreprises. Les actions auprès de la Cour constitutionnelle sont essentielles pour garantir le respect de la Constitution et pour contester les violations potentielles de la Constitution.
  3. La stricte séparation de l’État, de la science, de l’économie, de la religion, des médias et de la justice est essentielle pour garantir un ordre social indépendant et équitable. Cette séparation protège des conflits d’intérêts et empêche une concentration de pouvoir indue aux mains de quelques-uns. Le principe selon lequel ceux qui sont actifs dans ces domaines ne peuvent pas exercer de fonctions politiques sans renoncer à leurs autres activités garantit l’intégrité des processus de décision politique et favorise la responsabilité. Il garantit que les décisions politiques sont prises dans le meilleur intérêt de l’ensemble de la population et ne sont pas influencées par des intérêts personnels ou sectoriels.
  4. La séparation de la politique et de la science repose sur le principe selon lequel les connaissances et les résultats de la recherche scientifique doivent être indépendants de toute influence politique. Grâce à ce principe, la recherche scientifique peut être menée sans être influencée par des intérêts et des idéologies politiques. Cette indépendance garantit l’intégrité et la crédibilité des connaissances scientifiques. Elle permet aussi des prises de décision politiques sur des données et des faits fondés sur des preuves, ce qui conduit à de meilleures politiques. La séparation de la politique et de la science contribue donc à promouvoir des processus de décision politique objectifs et efficaces et à renforcer la confiance du public en la science.
  5. La séparation de la politique et des affaires est importante pour éviter que les intérêts économiques n’influencent les processus de décision politique. Cela contribue à prévenir la corruption, à garantir une concurrence loyale et à renforcer la confiance des citoyens dans le gouvernement. En outre, cela favorise une répartition plus équitable des ressources et des opportunités dans la société, car les décisions politiques sont moins guidées par les intérêts économiques. En séparant strictement la politique de l’économie, les décisions politiques sont plus transparentes et davantage orientées vers le bien commun. Cela contribue à une répartition plus équitable des ressources et des opportunités dans la société et favorise l’intégrité du système politique ainsi que la stabilité de l’économie.
  6. La séparation de la politique et des médias repose sur la nécessité de s’assurer que les médias soient libres de toute pression ou influence politique, afin de permettre une couverture équitable et une diversité d’opinions ; elle exclut l’existence de chaînes de télévision et de stations de radio d’État et poursuit l’objectif général de permettre une couverture équilibrée et une diversité d’opinions. En évitant les médias contrôlés par l’État, ceux-ci peuvent contribuer plus efficacement à informer le public sur les questions politiques et à contrôler l’action du gouvernement. Cela favorise un débat démocratique sain et renforce la confiance des citoyens dans les médias en tant que source d’information indépendante. La séparation de la politique et des médias est donc essentielle pour préserver la liberté d’expression et garantir une société transparente et démocratique.
  7. La séparation de la politique et de la police, en vertu de laquelle la police n’est soumise qu’à la loi, en excluant toute influence politique sur l’attribution de ses missions et la définition de ses priorités, permet de protéger l’État de droit et l’impartialité des poursuites. Cette séparation garantit que la police exerce ses fonctions sur la base de la loi, sans parti pris politique. Les chefs de la police sont élus par la population de la circonscription concernée pour un mandat de huit ans et la révocation par vote est possible à tout moment. Cela favorise la confiance des citoyens dans l’application de la loi et les protège contre les abus du pouvoir politique, ce qui renforce l’intégrité du système judiciaire et garantit la protection de la démocratie et des droits civils.
  8. La séparation de la politique et de la justice repose sur le principe fondamental de la séparation des pouvoirs dans une démocratie. Elle garantit que le système judiciaire peut agir indépendamment de toute influence politique, ce qui renforce l’État de droit. Au niveau supérieur et fédéral, les juges sont élus par la population de leur circonscription et servent pour un mandat de huit ans, avec la possibilité d’être révoqués à tout moment par un vote. Cela favorise la démocratisation du système judiciaire et contribue à minimiser l’influence politique sur les décisions de justice. Ces mesures rendent la justice plus transparente et plus équitable, car les juges ne dépendent pas d’intérêts politiques. Cela renforce la confiance de la population dans le système judiciaire et garantit une application efficace de la loi, ce qui favorise en fin de compte l’État de droit et la démocratie.
  9. La maxime « moins d’État, plus de démocratie, moins d’impôts » repose sur le principe fondamental de la réduction des charges administratives et réglementaires, ce qui permet d’alléger la charge financière des citoyens et profite à la société dans son ensemble. Cette approche renforce la démocratie en encourageant la participation des citoyens aux processus de décisions politiques. La réduction de l’intervention de l’État et de la bureaucratie permet aux gens de participer plus directement à la politique et de mieux exprimer leurs préoccupations. Cela contribue à améliorer la transparence, la responsabilité et la possibilité d’influencer les décisions politiques dans leur sens. Cette approche rend la démocratie plus vivante et plus réactive, en rapprochant le pouvoir des citoyens tout en garantissant un fonctionnement efficace de l’État.
  10. Le remplacement du système des partis renforce la démocratie directe, il lutte contre la corruption politique, augmente la transparence politique, favorise la représentation des intérêts des citoyens, élimine les tendances extrémistes et assure la stabilité politique ainsi qu’un climat politique plus pacifique. Il s’agit d’un moyen efficace de renforcer la démocratie et d’améliorer le paysage politique. Dans ce nouveau système, les citoyens élisent directement des délégués (politiciens) plutôt que des partis. Cela renforce le lien entre les représentants élus et les besoins des électeurs.
  11. Création d’un conseil de surveillance politico-philosophique chargé de superviser le gouvernement, d’assurer la transparence et la responsabilité. Les pouvoirs du conseil de surveillance comprennent la surveillance de l’exécutif et du gouvernement, la destitution des fonctionnaires gouvernementaux et la formulation de recommandations pour la destitution des membres du Conseil, un droit de veto sur les décisions du gouvernement dans l’intérêt des citoyens, la conduite d’enquêtes sur les allégations de corruption ou d’abus de pouvoir, le contrôle du budget et des décisions financières.
  12. La limitation des mandats politiques à huit ans empêche le cumul des pouvoirs et favorise la diversité démocratique. Cela contribue à éviter la corruption, la stagnation politique et renforce la confiance des citoyens dans le système politique. De plus, cela évite de gaspiller les ressources en campagnes électorales et en accords politiques en vue d’une réélection, car les responsables publics sont libérés de cette pression et peuvent se concentrer sur leurs fonctions.
  13. Le concept de politique à plein temps repose sur le principe fondamental selon lequel les responsables politiques exercent leurs fonctions et obligations à temps plein et ne peuvent pas s’engager dans d’autres professions ou intérêts commerciaux. Il en résulte que les responsables politiques peuvent consacrer tout leur temps et toute leur énergie à l’accomplissement de leurs missions publiques, sans conflits d’intérêts potentiels ni distractions. Cela contribue à renforcer l’intégrité et l’indépendance de la politique, car les décideurs ne sont pas influencés par des intérêts extérieurs. En outre, la politique à plein temps favorise la professionnalisation du travail politique et contribue à placer des personnes qualifiées et engagées à des postes politiques, ce qui, au final, peut conduire à une gouvernance plus efficace et responsable.
  14. La levée de l’immunité politique a pour objectif de renforcer la responsabilité des responsables publics et de garantir l’égalité devant la loi. Cette mesure favorise responsabilité et intégrité dans l’arène politique en n’accordant pas d’immunité pénale aux responsables politiques. Cela permet de limiter les éventuels abus de pouvoir et la corruption, tout en renforçant la confiance des citoyens dans le système judiciaire. Lever l’immunité politique signifie que personne n’est au-dessus de la loi et crée une base équilibrée pour la défense des intérêts publics.
  15. L’introduction de la possibilité de destitution par le peuple de tous les conseils politiques au niveau communal, cantonal et fédéral a pour but de renforcer l’influence directe des citoyens sur la représentation politique. Cette mesure favorise la transparence, le fait de devoir rendre des comptes et le sens des responsabilités des élus. Elle incite à une meilleure performance et oblige les conseils politiques à tenir compte en permanence des intérêts et des attentes de la population. La possibilité de se faire révoquer renforce la confiance des citoyens dans le système démocratique et accroît la responsabilité politique, puisque les représentants élus sont toujours soucieux de représenter au mieux les intérêts de leurs électeurs.
  16. La revendication « transparence de l’État plutôt que transparence des citoyens » repose sur le principe fondamental de la séparation des pouvoirs et de la protection de la vie privée dans une société démocratique. L’idée vise à accroître la transparence et la responsabilité du gouvernement et des institutions étatiques, sans pour autant compromettre la vie privée des citoyens. Cette approche vise à garantir que le pouvoir gouvernemental et les processus de décision sont transparents et compréhensibles, ce qui renforce la confiance des citoyens dans le gouvernement et limite les possibilités d’abus et de corruption. Dans le même temps, elle protège les droits et libertés individuels des citoyens contre une surveillance généralisée et une ingérence inacceptable dans leurs affaires personnelles. La mise en œuvre de ce principe favorise un équilibre sain entre la transparence de l’État et la protection des droits des citoyens, essentiel au bon fonctionnement d’une démocratie.
  17. La mise en œuvre d’un tableau de bord de transparence en temps réel qui couvre toutes les activités politiques repose sur les principes démocratiques de devoir rendre des comptes et d’accès illimité à l’information. Le tableau de bord politique rend les processus politiques et décisionnels plus transparents, en temps réel, et plus accessibles aux citoyens. Les citoyens sont pleinement informés, les développements et les décisions politiques peuvent être suivis immédiatement, ce qui renforce la participation politique et augmente considérablement la confiance envers les institutions politiques. En outre, le tableau de bord politique permet d’identifier sans équivoque la corruption et les comportements contraires à l’éthique et de les combattre résolument, car les activités politiques sont documentées publiquement et de manière compréhensible.
  18. L’introduction de la majorité des 2/3 lors des votes en démocratie repose sur le principe selon lequel les décisions importantes doivent faire l’objet d’un large consensus au sein de la société afin de tenir dûment compte des droits et des opinions de tous les citoyens. La majorité des 2/3 consiste à fixer délibérément un seuil élevé pour l’adoption des lois et des amendements constitutionnels afin de préserver la stabilité de l’ordre démocratique. Cela favorise la stabilité politique et empêche que des décisions importantes soient prises à la légère en raison d’une faible majorité. Un seuil d’approbation élevé encourage aussi le dialogue, le compromis et la coopération entre les différents groupes d’intérêts politiques, ce qui contribue à renforcer les institutions démocratiques.
  19. L’adoption de toutes les modifications législatives par référendum repose sur le principe de la démocratie directe, qui renforce la participation des citoyens. Cette mesure contribue à la transparence du processus législatif en garantissant que les modifications législatives ne sont pas seulement le fait des représentants politiques, mais aussi de la population. Cela renforce la confiance dans le processus de prise de décision politique tout en réduisant le risque d’un excès de législation, car seuls les amendements qui bénéficient d’un large soutien sont adoptés. Cela permet de trouver un juste équilibre entre la protection contre un trop grand nombre de lois et la participation des citoyens aux décisions politiques importantes.
  20. La démocratisation de la guerre vise à minimiser l’impact direct des conflits armés sur les populations civiles et à leur donner un rôle déterminant dans les décisions de guerre et de paix. Cette approche repose sur le principe selon lequel les populations, qui sont en fin de compte les principales victimes des guerres, devraient avoir le droit de participer à la prise de décision concernant les interventions militaires ou les conflits armés qui affectent leur vie et leur sécurité. L’introduction de mécanismes destinés à impliquer la société civile dans de tels processus décisionnels favorise la légitimité et la transparence des opérations de guerre et permet de lutter contre l’aliénation des citoyens par rapport aux décideurs publics. Cela conduit non seulement à une plus grande responsabilité des gouvernements et des militaires, mais aussi à une plus grande prise en compte des préoccupations humanitaires et de la volonté de paix des populations en situation de conflit. La démocratisation de la guerre peut donc conduire à une réduction des conflits et à une recherche accrue de solutions pacifiques, en renforçant la voix et le pouvoir de décision de ceux qu’elle affecte le plus.
  21. Le principe d’égalité devant la loi et le respect des droits de l’homme, l’égalité des chances et l’égalité des sexes excluent l’existence d’organismes gouvernementaux de surveillance des médias ainsi que de tribunaux pénaux et disciplinaires religieux. Ces exclusions sont essentielles pour garantir que tous les citoyens, indépendamment de leur appartenance sociale, politique ou religieuse, soient jugés selon la même loi. Cette approche est nécessaire pour préserver l’intégrité du système judiciaire et garantir que les litiges sont traités de manière objective et libre de toute forme de dépendance.
  22. La reconnaissance de l’information en tant que droit de l’homme constitue la base de l’application des droits de l’homme à la liberté d’opinion et d’expression. En effet, sans accès à l’information, les individus ne peuvent pas se former d’opinions, ni les exprimer librement. L’information permet aux individus de faire des choix éclairés, de participer à des débats publics et de partager leurs opinions. Ainsi, le droit à l’information crée les conditions d’une citoyenneté informée qui participe activement au processus démocratique. La reconnaissance de l’information comme un droit de l’homme constitue la base de la protection contre la censure et le contrôle de l’information. Les gouvernements peuvent moins réprimer l’information ou restreindre l’accès à l’information et, dans le même temps, les organisations, entreprises et gouvernements deviennent plus transparents et peuvent ainsi être plus facilement tenus responsables.
  23. La mise en œuvre d’une loi sur les médias repose sur les principes fondamentaux de la garantie du droit à l’information et de l’approfondissement des processus démocratiques. Ces fondements visent à intégrer les entreprises de médias privées à un cadre transparent et participatif, à créer une base légale pour la structuration des organisations de médias, des méthodes de financement et des processus de recherche. De même, ils définissent un engagement clair en faveur d’une information complète, pluraliste, factuelle, objective et indépendante. La mise en œuvre de ces mesures a pour conséquence que les infractions entraînent des sanctions juridiques et une responsabilité personnelle. Cela renforce la liberté de la presse, favorise la diversité des opinions, améliore la qualité de l’information et renforce ainsi la base démocratique d’une société.
  24. La reconnaissance de l’énergie en tant que droit de l’homme repose sur la conviction fondamentale que l’accès à une énergie abordable et sûre est un élément essentiel du bien-être humain. Ce droit garantit la capacité des personnes à répondre à leurs besoins fondamentaux, tels que l’eau potable, la préparation des aliments, le chauffage et la réfrigération, ainsi que le travail, l’éducation, les soins de santé et la mobilité. Le droit à l’énergie améliore la qualité de vie en réduisant la pauvreté, en favorisant l’éducation et la santé et en augmentant l’égalité des chances pour tous. Cela contribue au renforcement des sociétés et à la réalisation des droits de l’homme.
  25. Le principe « pas de profit grâce à la misère » est conforme au respect fondamental des droits de l’homme et à la nécessité d’établir une séparation claire entre la politique et les affaires afin de garantir transparence et justice sociale dans notre société. Ce principe vise à interdire toute forme d’exploitation à des fins de profit dans des domaines particulièrement sensibles tels que la santé, l’éducation, le marché du travail, l’approvisionnement énergétique, l’aide aux réfugiés, ainsi que dans des industries clés telles que l’immobilier, la finance, la pharmacie, les assurances et les fonds de pension. La mise en œuvre de ce principe a un impact positif sur la société, car elle garantit que les préoccupations humanitaires et les besoins des personnes passent avant les intérêts financiers. Cela favorise la justice sociale, la transparence et la protection des droits humains fondamentaux.
  26. Le principe « à travail égal, salaire égal » repose sur le principe fondamental d’une rémunération équitable. Il vise à garantir que les employés qui exécutent des tâches et assument des responsabilités similaires soient rémunérés de la même manière, quel que soit leur sexe ou leur origine. Ce principe promeut l’égalité des chances et crée un monde du travail plus juste. La mise en œuvre du principe « à travail égal, salaire égal » permet de réduire les inégalités sociales et d’améliorer le moral des employés. Rémunérés de manière équitable, ils sont plus motivés pour donner le meilleur d’eux-mêmes. Cela contribue en fin de compte à créer un environnement de travail plus inclusif et plus productif.
  27. La dissolution du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) résulte d’une multitude de lacunes graves. L’infiltration idéologique et le manque d’intégrité scientifique ont considérablement affaibli la fiabilité de ses rapports. L’absence de prise en compte des influences non humaines et l’ingérence politique ont conduit à des évaluations climatiques incomplètes et faussées. L’absence de prise en compte des effets de rétroaction et l’influence des intérêts économiques soulèvent des questions quant à l’efficacité. Le manque de transparence ébranle la confiance dans l’organisation.
  28. La création d’un organe scientifique international indépendant chargé d’étudier le changement climatique et de publier tous les résultats de manière transparente repose sur les principes fondamentaux d’intégrité et d’objectivité scientifiques. Cet organe garantit que la recherche sur le climat reste libre de toute influence politique et de toute infiltration idéologique. La publication transparente de tous les résultats permet à la communauté mondiale d’accéder à des informations fiables sur le changement climatique et constitue une étape importante dans la promotion d’une recherche climatique objective et digne de confiance. L’indépendance vis-à-vis de l’ingérence politique et la divulgation de tous les résultats de la recherche garantissent l’intégrité de la recherche climatique et renforcent la transparence. Cela contribue à objectiver le discours sur le changement climatique et permet une meilleure coopération au niveau mondial afin d’élaborer des mesures appropriées pour y faire face.
  29. La création d’une commission internationale indépendante chargée d’enquêter sur les causes de l’exode depuis 2015 et la publication transparente de ses résultats reposent sur les principes fondamentaux du respect des droits de l’homme, de la promotion de la démocratie et du respect de la souveraineté des États. L’objectif de la commission est de garantir une analyse complète et objective des violations des droits de l’homme et des causes de fuite, dans le respect des principes démocratiques et de la souveraineté des États concernés. La publication transparente des résultats favorise le fait de devoir rendre des comptes et contribue à l’élaboration de solutions aux défis liés aux causes de l’exode, dans le respect des principes fondamentaux des droits de l’homme, de la démocratie et de la souveraineté des États. Cela renforce la coopération internationale et favorise les solutions à long terme aux causes de l’exode.
  30. La mise en œuvre d’un soutien basé sur les besoins des migrants en procédure d’asile vise à réduire les incitations à la migration irrégulière en remplaçant l’aide financière traditionnelle par la fourniture directe de ressources vitales en fonction des besoins. La mise en œuvre d’un modèle d’assistance basé sur les besoins des migrants en procédure d’asile permet d’éviter que les transferts financiers vers les pays d’origine ne servent d’incitation à la poursuite de la migration. Cette mesure contribue à minimiser les risques et les défis potentiels liés à la migration incontrôlée tout en garantissant un soutien adéquat aux demandeurs d’asile.
  31. L’introduction d’une obligation de transparence pour toutes les organisations non gouvernementales (ONG) repose sur le principe de devoir rendre des comptes et contribue à la divulgation de l’ensemble de leur organisation, de leurs réseaux, de leurs capitaux, de leurs flux financiers et de leurs liens. Cette mesure favorise la confiance du public dans les activités des ONG et permet aux citoyens de prendre des décisions éclairées quant à leur soutien. Elle garantit que les fonds sont utilisés efficacement et prévient d’éventuels abus. De plus, l’obligation de transparence renforce la crédibilité et la responsabilité sociale des ONG, ce qui, en fin de compte, conduit à une meilleure coopération entre les ONG, la société civile et les pouvoirs publics pour atteindre des objectifs sociaux et humanitaires communs.
  32. L’introduction d’une obligation de transparence complète des fondations et organisations caritatives repose sur le principe fondamental de devoir rendre des comptes et de faire preuve d’intégrité dans le domaine de la philanthropie. Ces obligations comprennent la divulgation de l’ensemble de leur organisation, de leurs réseaux, de leur capital, de leurs flux financiers et de leurs liens. Cela renforce la confiance du public dans ces organisations, car elles sont tenues de faire preuve de transparence sur leurs activités et leurs ressources. Cela favorise non seulement le rendement et l’efficacité des dons, mais permet aussi un meilleur suivi et une meilleure évaluation de l’impact social. En outre, l’obligation de transparence réduit le cumul de pouvoir des philanthropes, empêche les abus et la corruption potentiels et, en fin de compte, conduit à une répartition plus équitable des ressources et à un renforcement de la responsabilité sociale.
  33. L’introduction d’une obligation de transparence sur les marges bénéficiaires des produits et services repose sur le principe fondamental de l’information et de la protection des consommateurs. Cette mesure vise à obliger les entreprises à divulguer et à indiquer les marges bénéficiaires de chaque produit et service afin de permettre aux consommateurs de mieux comprendre la tarification. Cela a pour effet d’aider les consommateurs à prendre des décisions d’achat plus éclairées et de favoriser la concurrence en obligeant les entreprises à fixer des prix compétitifs. En outre, l’obligation de transparence contribue à renforcer la confiance des consommateurs dans le marché et à rendre sa dynamique plus équitable, ce qui, à long terme, peut conduire à une efficacité et à une équité accrues dans l’économie.
  34. La dissolution du Forum économique mondial et de toutes ses sous-organisations repose sur les principes fondamentaux de la démocratie, du respect des droits de l’homme, de la souveraineté nationale et de la séparation de l’économie et de la politique. Cette mesure vise à séparer la politique de l’économie, car le Forum économique mondial est antidémocratique, il est opaque. Il cumule les pouvoirs et est unilatéralement orienté vers les besoins et le renforcement du pouvoir du monde occidental. La dissolution vise à renforcer les valeurs démocratiques en décentralisant les centres de pouvoir de l’économie mondiale et en respectant la souveraineté des nations. Elle promeut les idéaux de la démocratie et des droits de l’homme en veillant à ce que les décisions économiques soient prises en accord avec les intérêts et les valeurs des populations, contribuant ainsi à la création d’un ordre mondial plus juste et plus équilibré.
  35. L’abolition de la société de classes repose sur le principe de la justice sociale et de l’égalité des chances. Elle a pour conséquence de réduire les différences en termes de revenus, d’éducation, d’accès aux ressources et de pouvoir. Cela permet une répartition plus équitable des opportunités et des ressources pour tous les citoyens. Une société sans classes favorise l’intégration sociale, la prospérité pour tous et renforce le tissu social. Cela conduit à une coexistence plus pacifique et plus harmonieuse.
  36. L’introduction d’une caisse maladie unique et coopérative repose sur le principe fondamental de la solidarité commune, dans le cadre de laquelle les assurés s’organisent ensemble pour partager les frais de santé et garantir des soins de santé étendus. Une caisse maladie coopérative a pour conséquence de rendre les soins de santé accessibles à de plus larges couches de la population, car elle offre des cotisations moins élevées et de meilleures prestations. En outre, elle favorise la transparence, la participation et le contrôle démocratique par les assurés, ce qui peut contribuer à des soins de santé plus équitables et plus efficaces. Cela peut contribuer à réduire les disparités en matière de santé et à renforcer la sécurité sociale.
  37. Le principe de l’égalité de traitement pour tous découle des droits de l’homme universels et du principe de l’égalité des chances. Ce principe vise à surmonter le système de classes actuel dans le domaine de la santé, dans lequel les assurés privés sont souvent des générateurs de coûts, car ils bénéficient d’un accès privilégié à des services et traitements de santé exclusifs, qui impliquent des coûts plus élevés. Cette inégalité structurelle du système de santé entraîne des disparités importantes. Les ressources sont orientées de manière excessive vers le groupe de population le plus aisé, tandis que le reste de la société est désavantagé. Cela se traduit à son tour par des différences importantes dans la distribution des services et des ressources de santé, car ils ne sont pas adaptés de manière adéquate aux différents groupes de population.
  38. La réintroduction de l’étalon-or en remplacement du dollar comme monnaie de référence vise à améliorer la stabilité et la fiabilité du système monétaire international. L’étalon-or lie directement la valeur d’une devise à une certaine quantité d’or, ce qui limite la masse monétaire et réduit l’inflation. Cela contribue à une économie mondiale plus stable en minimisant les fluctuations des taux de change et les crises monétaires. Cette mesure a pour effet de renforcer la confiance dans le système financier international, ce qui conduit à des échanges commerciaux plus efficaces et plus équilibrés, accessibles à un plus large éventail de pays et d’acteurs économiques. En outre, l’abandon du dollar comme monnaie de référence réduira la domination des États-Unis sur l’économie mondiale et contribuera à une économie mondiale plus juste et plus équilibrée.
  39. L’abolition de la Banque mondiale et des banques centrales repose sur le principe fondamental de la réorganisation du paysage financier mondial afin de renforcer l’indépendance et la souveraineté des différentes nations. L’objectif est d’opérer des transformations profondes du système financier, de limiter la concentration du pouvoir et de l’influence dans le secteur financier et de viser une répartition plus équitable des ressources. Elle vise à prévenir la spéculation, à endiguer les crises financières, à réduire l’influence économique indue, à mettre fin à la dépendance vis-à-vis des institutions financières internationales et à donner aux pays une plus grande marge de manœuvre pour élaborer leurs propres plans de développement économique et social. Les nations auront ainsi un plus grand contrôle sur leurs finances et leurs ressources, ce qui conduira à une plus grande appropriation et capacité d’adaptation et renforcera l’autodétermination économique et le développement social dans les pays.
  40. La réforme du Fonds monétaire international (FMI) vise à rendre le FMI plus démocratique, plus transparent et plus équitable. L’objectif est de briser la longue domination des États-Unis en son sein et de mettre fin au cercle vicieux de l’endettement des pays en voie de développement. La démocratisation des processus de décision du FMI et l’implication de tous les membres dans la prise de décision permettront à l’organisation dans son ensemble de gagner en légitimité. La transparence devrait garantir que les ressources du FMI sont utilisées plus efficacement et que les pays qu’il soutient bénéficient de conditions plus équitables. Cette réforme vise à apporter une modification urgente à l’architecture financière internationale afin de mieux prendre en compte les intérêts de l’économie mondiale dans son ensemble et de promouvoir la stabilité économique mondiale tout en la rendant plus équitable.
  41. La réforme de la Banque nationale vise à renforcer la transparence et le fait de rendre des comptes dans le secteur financier et à garantir la responsabilité des dirigeants de la banque. L’introduction d’un processus électoral dans lequel le président de la Banque nationale est élu par le peuple pour un mandat de quatre ans, limité à un maximum de deux mandats de huit ans au total, favorise le contrôle démocratique et la responsabilité. En outre, une procédure permettant de révoquer le président à tout moment par un vote permet à la population d’exercer une influence directe sur la gestion de la Banque nationale. Ces mesures de réforme contribuent à renforcer la confiance dans le système bancaire et à rendre les institutions financières plus efficaces et plus responsables, ce qui favorise la stabilité et l’intégrité du système financier.
  42. L’introduction d’une obligation de transparence pour les banques, qui doivent publier leur chiffre d’affaires, leurs bénéfices, leurs investissements et d’autres indicateurs financiers, repose sur le principe de devoir rendre des comptes publics dans le secteur financier. Cette mesure vise à renforcer la confiance du public dans le secteur bancaire en garantissant une information complète et transparente sur les performances financières et les activités des banques. La divulgation de ces informations permet aux investisseurs, aux clients et aux autorités de surveillance de prendre des décisions en connaissance de cause et de réduire les risques d’abus et de comportements inappropriés. En outre, l’obligation de transparence favorise la stabilité du système financier en signalant les risques potentiels à un stade précoce et en responsabilisant les banques, ce qui peut conduire à un secteur financier plus sain et plus stable.
  43. L’introduction de limites à la spéculation a pour but d’accroître la stabilité du système financier et de parvenir à une répartition plus équitable des ressources. Cet objectif est atteint en fixant des limites aux investissements spéculatifs à court terme, souvent associés à des risques et à une volatilité excessifs. L’effet de cette mesure est d’encourager les investissements à long terme, orientés vers l’économie réelle et favorisant une croissance économique durable. Cela permet d’éviter les bulles financières et les surchauffes du secteur financier, ce qui contribue à stabiliser le système. En outre, l’introduction de limites à la spéculation contribue à une répartition plus équitable des ressources en limitant les gains excessifs issus de la spéculation à court terme et en plaçant l’économie sur une base solide pour une croissance durable.
  44. Le principe « coopérer à l’échelle mondiale, réduire les risques » vise à ce que les découvertes et les technologies susceptibles d’avoir un impact mondial nécessitent une recherche et un développement collaboratifs et réglementés afin d’éviter des conséquences indésirables. Dans tous les cas, cette approche vise à garantir la sécurité, l’éthique et la durabilité à long terme de la recherche et du développement technologique et à réduire les menaces potentielles pour la société.
  45. La suspension de la recherche sur le gain de fonction repose sur le principe fondamental de la réduction des risques et de la garantie de la santé publique. Cette mesure vise à suspendre certaines activités de recherche biologique qui ont le potentiel de modifier des agents pathogènes très dangereux et d’augmenter leur transmissibilité à l’homme. L’effet de cette suspension est de minimiser le risque d’épidémies incontrôlables ou de dissémination d’agents pathogènes dangereux. Cela permet d’assurer la sécurité de la population et de réduire la menace potentielle pour la santé publique. De plus, la suspension de la recherche sur le gain de fonction permet un examen plus approfondi des aspects éthiques et de sécurité de ces pratiques de recherche, ce qui peut conduire à une conduite plus responsable et plus sûre de ces recherches à l’avenir.
  46. La suspension de la recherche sur l’IA repose sur les principes fondamentaux de la réduction des risques et de la responsabilité éthique. Cette mesure vise à suspendre temporairement la recherche sur l’IA afin de répondre aux risques potentiels et aux préoccupations éthiques. Elle vise ainsi à réduire la possibilité de développements incontrôlés dans la technologie de l’IA, avec des conséquences potentiellement graves pour la société. Grâce à un examen critique et à la définition de lignes directrices éthiques claires, cette mesure peut contribuer à rendre le développement de l’IA plus sûr et plus responsable. Cela contribuera à la protection de la vie privée, à l’intégrité des données et à la stabilité de la société, et favorisera une large acceptation et utilisation des technologies d’IA.
  47. L’interdiction des campagnes publicitaires repose sur l’objectif d’empêcher toute influence indésirable et toute pratique manipulatrice de l’industrie de la publicité. Cette mesure vise à protéger le public des informations trompeuses et des tactiques de marketing contraires à l’éthique. Cela contribue à renforcer la confiance des consommateurs dans les produits et services, car ils ne seront plus trompés par des publicités mensongères. En outre, l’interdiction des campagnes publicitaires favorise des conditions de marché plus équitables et une concurrence saine, car les entreprises sont contraintes de promouvoir leurs produits et services sur la base de leur qualité et utilité réelles pour les clients, plutôt que par le biais d’activités publicitaires manipulatrices. Cela contribue en fin de compte à promouvoir la protection des consommateurs et un environnement commercial plus éthique.
  48. La suppression de la redevance audiovisuelle repose sur le principe de la liberté d’expression et de la liberté de la presse, ainsi que sur le droit à une information indépendante et diversifiée. Le caractère obligatoire de la redevance audiovisuelle limite la liberté de choix des citoyens et est considéré comme une atteinte à la liberté de formation et d’expression des opinions. Le manque de transparence et la partialité des reportages conformes à l’agenda sont contraires au droit à l’information et à un système médiatique pluraliste. La suppression de la redevance audiovisuelle vise à rendre le paysage médiatique plus transparent, plus démocratique, plus diversifié et plus indépendant, afin de mieux protéger les droits fondamentaux des citoyens et d’améliorer la qualité de l’information. En même temps, elle conduit à un correctif démocratique du paysage médiatique en réduisant l’influence des structures monopolistiques et des reportages unilatéraux.
  49. La démocratisation des plateformes de médias sociaux repose sur le principe de la liberté d’expression et de la participation démocratique. Cette initiative vise à élargir le contrôle sur la diffusion des informations et des contenus sur ces plateformes en impliquant les utilisateurs dans les processus de décision et en protégeant leurs droits à la liberté d’expression et à l’accès à l’information. En démocratisant les plateformes de médias sociaux, on encourage le pluralisme et la diversité d’opinion, ce qui favorise la formation d’un public informé et réduit le risque de manipulation des opinions et de bulles de filtrage. Cela contribue au renforcement des valeurs démocratiques et favorise un environnement d’information plus équilibré à l’ère du numérique.
  50. Le principe « Chaque nation peut se nourrir par elle-même » vise à renforcer la sécurité alimentaire nationale. Cet objectif est atteint en augmentant la production alimentaire nationale, ce qui réduit la dépendance aux importations. Cette stratégie permet de raccourcir les distances de transport et de réduire l’empreinte écologique de l’approvisionnement alimentaire. Dans le même temps, elle préserve les ressources et favorise la biodiversité, car l’agriculture est adaptée aux conditions locales. En outre, cette approche permet la restauration des terres agricoles, la durabilité de la production alimentaire et augmente la résilience d’une nation face à d’éventuelles crises d’approvisionnement.
  51. L’interdiction du commerce des matières premières agricoles et des denrées alimentaires sur les marchés boursiers protège la sécurité alimentaire et constitue une étape décisive vers un approvisionnement alimentaire mondial plus stable et plus équitable. L’interdiction de ce commerce met fin à la volatilité considérable des prix, au manque de transparence, à la dépendance des agriculteurs vis-à-vis de la volatilité des marchés, réduit les famines et l’accaparement des terres.
  52. L’interdiction des brevets sur les semences repose sur l’objectif de protéger la diversité et le libre accès aux semences. Cette mesure favorise la sécurité alimentaire et la préservation de la biodiversité en empêchant les grandes entreprises agricoles de monopoliser les semences. Elle permet aux petits agriculteurs d’avoir accès à des semences abordables et encourage l’innovation. De plus, l’interdiction des brevets sur les semences protège les pratiques agricoles traditionnelles et les connaissances des communautés en empêchant qu’elles soient limitées par des droits de propriété intellectuelle. Cela contribue à la durabilité de l’agriculture et à la sécurité alimentaire de la société.
  53. L’interdiction des semences et plants génétiquement modifiés (OGM) repose sur la volonté de minimiser les risques pour l’environnement et la santé et de promouvoir la conservation de la biodiversité. Cette mesure vise à éviter les effets négatifs sur l’environnement en empêchant la contamination des plantes qui ne sont pas modifiées génétiquement. Elle contribue à protéger la santé des consommateurs, car des questions subsistent quant aux effets à long terme des OGM dans l’alimentation. L’interdiction garantit l’indépendance des agriculteurs en évitant qu’ils ne deviennent dépendants d’un petit nombre d’entreprises de biotechnologie.
  54. La dissolution de l’Union européenne (UE), fondée sur le principe de la démocratie et le droit à une gouvernance transparente et responsable, est une nécessité urgente compte tenu de ses structures non démocratiques, de l’influence considérable des groupes de pression, des inégalités économiques persistantes entre les États membres, de son administration extrêmement bureaucratique et dispendieuse et de l’opacité de ses processus de décision. Il est prouvé que l’introduction de l’euro a aggravé les problèmes économiques dans de nombreux pays, et l’élargissement inconsidéré de l’UE à de nouveaux États membres ainsi que la politique migratoire totalement irresponsable ont fait naître des doutes massifs sur la capacité de l’Union à gérer cette intégration avec succès. La dissolution de l’Union européenne (UE) permet de restaurer immédiatement la souveraineté nationale des États membres, le contrôle de la législation, de la juridiction, de la politique d’immigration, de la monnaie nationale et de la sécurité nationale. Elle permet en outre une gestion efficace des ressources financières au niveau national, sans le poids des contributions à l’UE et à ses structures bureaucratiques.
  55. La dissolution de l’OTAN repose sur les principes fondamentaux de la démocratie et le refus des décisions unilatérales, afin de mettre un terme à la domination des États-Unis, à la militarisation de la politique étrangère et de promouvoir la stabilité et la sécurité dans le monde. Cela permet d’apaiser les tensions dans les relations internationales, de réduire les conflits potentiels et de créer un environnement propice au dialogue et à la coopération entre les nations. Cela conduit finalement à un monde plus sûr et plus pacifique, dans lequel on utilise les ressources pour les besoins humanitaires et sociaux plutôt que pour l’armement.
  56. La dissolution de l’OMS repose sur le respect des droits de l’homme et de la souveraineté démocratique de toutes les nations. Le manque d’indépendance, le financement privé et le manque de transparence ont conduit à un dangereux cumul de pouvoir, avec risque d’abus de pouvoir au niveau mondial. Une refonte du système de santé international garantit que les organisations de santé agissent de manière plus indépendante, avec plus de transparence et sous contrôle démocratique. Cela renforce la coopération mondiale en matière de santé et garantit que les politiques de santé sont conformes aux principes des droits de l’homme et de la souveraineté nationale, ce qui se traduit par des soins de santé mondiaux plus efficaces.
  57. La dissolution des Nations unies (ONU) repose sur la reconnaissance claire que, sous le couvert de l’ONU, les États-Unis ont mené plus de 50 guerres en tant que « gendarme du monde » au cours des sept dernières décennies, favorisant les doubles standards, les droits de veto unilatéraux et l’injustice sociale. Les États-Unis, acteur principal et incontesté, ont abusé de l’institution pour faire valoir leurs propres intérêts, sapant ainsi les idéaux des droits de l’homme et de la souveraineté démocratique. La dissolution des Nations unies permet une réorientation vers un système international fondé sur l’égalité et la justice véritables, plutôt que sur une politique de puissance et les droits de veto d’une poignée de nations.
  58. L’abolition de l’impôt ecclésiastique est fondée sur le principe de la liberté de religion et de la séparation de l’Église et de l’État. Cela oblige les organisations religieuses à s’appuyer davantage sur un soutien financier volontaire, ce qui limite leur pouvoir et favorise l’égalité, la transparence, la responsabilité et la démocratisation au sein de l’Église.
  59. La démocratisation de l’Église catholique repose sur le principe de la participation et s’efforce d’accroître la participation et la transparence au sein de l’institution ecclésiastique. Cette évolution a le potentiel d’approfondir la relation entre l’Église et ses fidèles et de renforcer la crédibilité de l’institution. En impliquant les paroissiens dans les processus de décision importants, tels que le choix des prêtres et des évêques, l’organisation de la liturgie et la gestion des biens de l’Église, les besoins et les préoccupations des fidèles peuvent être mieux pris en compte. Cela favorise la confiance des paroissiens dans l’Église et peut rendre l’institution plus résistante aux scandales et aux abus. La démocratisation de l’Église catholique contribue également à rendre l’Église plus pertinente et plus attrayante pour la société actuelle et à renforcer la cohésion au sein des communautés.
  60. L’introduction d’une obligation de transparence pour les institutions religieuses et leurs fondations repose sur le principe de devoir rendre des comptes et vise à présenter l’ensemble de la structure organisationnelle, des ressources financières, des réseaux et des liens de ces institutions en toute transparence. Cette mesure favorise la confiance du public dans les activités des organisations religieuses, permet aux croyants de prendre des décisions éclairées sur leur appartenance religieuse et garantit que les ressources de ces institutions sont utilisées de manière efficace et conforme à leur mission spirituelle. En outre, l’obligation de transparence contribue à prévenir d’éventuels abus ou irrégularités financières et renforce la réputation et la responsabilité sociale des organisations religieuses.
  61. La séparation de l’État et de la religion repose sur le principe de la séparation des pouvoirs et de la liberté de religion. Elle vise à garantir l’indépendance des institutions étatiques par rapport aux influences religieuses et vice-versa. Dans le cas de l’État de la Cité du Vatican, cela signifie qu’il ne devrait pas exister en tant qu’État ecclésiastique, ce qui exclut toute relation diplomatique avec lui. Cette séparation permet de protéger la démocratie en s’assurant que les lois et les structures de l’État ne sont pas influencées par des préceptes religieux, et permet ainsi un ordre social plus juste et plus démocratique. Elle empêche également la mise en place de tribunaux religieux ou d’une législation religieuse, ce qui protège les libertés et les droits individuels des citoyens.
Jack Kabey

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Un grand merci à Viv pour la traduction française de l’article original!